C'est Noël, et Noël sans bredeles, c'est pas Noël.
On applaudit donc bien fort ceux qui perpétuent les traditions...
Nous avons donc:
-des zimsternes (mes préférés)
-des schwowebredeles
-des cocosbredeles (absents sur la photo, mais oeuvres de Mr. Patrice)
-des macarons au chocolat
-des tuner litze
-des immigrés aux noix et à l'érable
-des 4 z'épices.
ET J'EN SUIS FIERE. Parce que confectionner des bredeles alors que notre équipement de cuisine se limite à deux fourchettes, trois couteaux et deux assiettes en carton (réutilisées, le summum de l'écologie), et ben c'est quand même fortiche. Na.
D'Krichtkindel backt Bredele, dit-on par chez nous, à Bredele-land, en Alsace. Au coucher du soleil, le ciel d'hiver s'embrase souvent de mille et un feux sur la plaine alsacienne :on dit alors que la Mère Noël prépare des bredeles, et que les lutins se chargent d'entretenir une bonne braise pour la cuisson, d'où la couleur rouge du ciel.
(Personnellement, mon alsacien se limite à Kopft tan mi noch a mal et Ya du grecht noch eins. "Fait que" je n'ai jamais trop utilisé l'expression D'Krichtkindel backt Bredele, mais je trouvais ça poétique en taberhouette)
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